Omiyage, c’est quoi ? Littéralement « produit de la terre », c’est par extension le terme qu’on utilise pour désigner les « souvenirs » ramenés d’un lieu visité. Originalement, il s’agit d’un produit emblématique de la région, notamment de la nourriture. Entre vous et moi, j’adore ramener des produits typiques des endroits que je visite, alors le concept me parle ! Je vous propose donc mes petites idées d’omiyage à ramener d’un séjour au Japon. Comme ça, vous serez fins prêts le moment venu.

Omiyage : quels souvenirs rapporter du Japon

Avant toute chose, mettons-nous d’accord : nous n’avons pas tous les mêmes centres d’intérêts, et chacun rapporte bien ce qu’il veut (tant que c’est légal, hein ?) de ses voyages. Même si généralement, les omiyage concernent la nourriture, ne vous sentez pas limités à cela et laissez libre cours à votre imagination. Je serais ravie de connaître vos suggestions d’omiyage en commentaires pour compléter mon humble liste ! 

Les baguettes gravées

Si comme moi vous avez une maladie qui vous donne envie de manger tous vos plats avec des baguettes, c’est le souvenir idéal. Que ce soit un cadeau de vous à vous (c’est important, je vous jure !) ou à un proche, le côté personnalisable fera toujours sensation. Puis comme votre message sera écrit en japonais, c’est encore plus stylé. 

J’ai découvert ma première boutique de baguettes gravées à Kyôto, avec mon cousin, en 2014. On s’était lâchés et on en avait ramené pour la famille ! Le principe est simple : vous choisissez une paire de baguettes qui vous plaît (parmi celles qui sont éligibles à la gravure), écrivez sur un papier fourni par la boutique le prénom voulu et pouf ! Non, pas pouf tout de suite. Il faut quand même que le spécialiste ait le temps de graver (gratuitement) le prénom, alors profitez-en pour flâner aux alentours (et trouver d’autres omiyage).

Ma boutique coup de cœur à Tôkyô se situe à Asakusa, dans la rue Kappabashi, où on trouve de nombreux ustensiles de cuisine et un omiyage original dont je vous parle après. Elle s’appelle Mikura et l’ambiance est super douce, la déco magnifique et les baguettes sublimes. Il y a même des baguettes pour enfant à l’effigie des signes du zodiaque chinois ! Note de mon papa : pour les habitués des baguettes vietnamiennes, les japonaises sont un peu fines et galères à utiliser (il fait le difficile) !

Les food sample

Lors de votre voyage au Japon, vous ne pourrez pas manquer les vitrines colorées des restaurants et cafés qui présentent des plats appétissants. Vous vous direz peut-être :  » mais comment ils conservent ça ?! « . C’est tout simplement du plastique ! Et comme tout est possible au Japon, on peut en ramener chez soi. Retour à Asakusa, dans la rue Kappabashi, alias le temple des ustensiles de cuisine et autres joyeusetés

Deux options s’offrent à vous. La première : flâner dans les nombreuses boutiques spécialisées dans la vente de food sample, et craquer pour un modèle grandeur nature (plus onéreux) ou les versions porte-clefs, bien plus simples à transporter. 

La seconde : opter pour la réservation d’un atelier de fabrication de food sample à la boutique Ganso Shokuhin Sampuruya (元祖食品サンプル屋), histoire de ramener un souvenir non seulement original, mais en plus fait main. Je n’ai pas encore testé l’atelier, mais c’est sur ma bucket-list pour un prochain séjour tokyoïte. 

Pour ma part, je me suis longtemps baladée avec mon food sample de dessert accroché au téléphone (jusqu’à ce qu’il rende l’âme), et j’adore le concept. Attention cependant, selon les boutiques cela peut vite être cher ! A vous d’explorer et de faire votre choix. Mais c’est un omiyage vraiment typique ! 

Les objets de temples et sanctuaires

A l’instar de la France où les églises vendent des produits pour financer leurs projets, les temples et sanctuaires japonais ont également leurs propres objets porte-bonheur (je ne suis pas encore spécialiste du sujet, mais le livre de Joranne trône dans ma pile à lire). Si l’on respecte les traditions, certains objets sont voués à rester au temple une fois les prédictions lues et appliquées. Mais nombreux sont ceux qui les rapportent en souvenir, ce qui est totalement ok aussi !

Concernant les omikuji (prédiction de la fortune sur papier), si le design est simple, j’aurai tendance à les ranger dans un classeur ou à les accrocher sur place si ma prédiction est mauvaise. Mais s’il est mignon, hop, dans la valise ! C’est ainsi que j’ai ramené une figurine de daim de Nara tenant l’omikuji dans sa bouche (que mon ancien chat a cassé, et que j’ai racheté en avril dernier). Certains temples proposent des designs originaux. A ce jour, j’ai un lapin, un dragon et un singe.

Dans le même esprit, on a les omamori (talismans de protection) thématiques (santé, travail, réussite, amour …) qui font un excellent souvenir en plus de vous porter bonheur. J’en ai ramené de Dazaifu, Tokyo, Taketa et Kyoto essentiellement, et je les ai encore. On les trouve entre 500 et 1000¥ en général.

Enfin, il y a les ema (tablettes votives décorées) sur lesquelles on écrit nos vœux. Quand j’ai vu que tout le monde en ramenait chez soi (coucou Ange Japonaise !), j’ai regretté fort d’avoir laissé la mienne au Kiyomizudera en 2014 (surtout que le vœu ne s’est finalement pas exaucé …). Ma revanche est prise, j’en ai acheté plein pendant mon PVT. C’est un peu plus cher que les omikuji et les omamori, mais ça dépend des temples, on peut en trouver entre 500 et plus de 1000¥. Il y a des classiques, des formes spécifiques (feuille d’érable, onigiri …) en fonction des lieux.

Mais ma grande découverte de 2019 fut le carnet de goshuin-chō ! Il s’agit d’un petit carnet qu’on peut obtenir dans les temples et sanctuaires, dans lequel on calligraphie le sceau du lieu où vous êtes. C’est un souvenir vraiment propre au Japon et unique, puisque son contenu dépendra des temples et sanctuaires que vous visiterez. Celui de la photo vient de Nikkô, et je l’ai complété cette année. J’en ai commencé un autre, acheté à Kyoto cette fois. Attention : un goshuin-chō est un objet personnel, ce n’est pas conseillé de l’acheter pour l’offrir ou de faire faire les calligraphies pour quelqu’un. Le but est vraiment de marquer votre pèlerinage au fil des temples et sanctuaires, c’est une démarche qui se veut spirituelle 🙂

L’artisanat

Si vous avez de la place pour des objets plus encombrants et lourds, n’hésitez pas à ramener des objets d’artisanat, et encore plus si vous avez contribué à leur confection ! Il existe de nombreux ateliers aux quatre coins du Japon permettant de créer ses propres objets (comme les food sample par exemple !). J’ai par exemple peint ma propre kokeshi (poupée en bois) dans un atelier à Matsushima, dans la région du Tōhoku. C’était une expérience vraiment sympathique et j’aimerais bien refaire d’autres projets de ce style !

En mars 2022, j’ai participé à un atelier à distance de fabrication d’un photophore en kumiko. Il s’agissait de commander le matériel, et une fois reçu, on assistait au live Instagram pour suivre les instructions de fabrication. J’ai beaucoup appris à travers cet atelier, et je suis encore plus fière d’avoir réalisé ma propre pièce ! Si ça vous rend curieux, je vous conseille de jeter un œil à l’article très complet de Corall & Meana sur l’artiste qui a proposé cet atelier. 

En 2016, pendant mon stage à l’Institut Français, j’ai eu la chance de rencontrer une collègue professeure de calligraphie. Cet art m’a toujours fasciné, je squattais parfois le club de calligraphie de l’université de Chūō, mais j’avais envie d’en savoir plus. Elle m’a offert un cours chez elle et je suis repartie avec mes « oeuvres ». Y a encore du boulot ! Mais suite à cela, j’ai filé à Sekaido, le paradis du matériel artistique à Shinjuku, pour m’acheter le nécessaire à calligraphie. Ma famille d’accueil m’a offert les pinceaux et le socle pour l’encre, et ma professeure le papier à calligraphie. Spoiler alert : je n’ai toujours pas fait de calligraphie depuis. Triste vie. Je vais aller squatter les vidéos de Sophie pour m’entraîner ! Mais cela reste un beau cadeau pour soi ou pour les amoureux de calligraphie.

Mais on n’est pas obligé de tout faire soi-même. Voici quelques idées en vrac d’objets d’artisanat à acheter : de la vaisselle traditionnell(mais attention au transport)du savon en konjac (j’ai mes boutiques fétiches à Yokohama et Asakusa, je vous en reparlerai à l’occasion)des tenugui (sorte de toile en coton décorative)des éventails …

Les vêtements

La mode japonaise peut être très différente de nos habitudes françaises. Bien sûr, la majorité des vêtements sont très similaires aux nôtres, mais il existe des spécificités selon votre style. Par exemple, dans certaines boutiques à Harajuku, il est possible d’acheter un uniforme scolaire ou une partie (personnellement je suis carrément fan des pulls scolaires et des jupes plissées !). Certaines robes et jupes ont un style très marqué, et les couleurs sont souvent plus variées qu’en France, selon moi. N’hésitez pas à flâner dans des boutiques typiquement japonaises qu’on ne trouve pas à l’international. Ceci dit, les vêtements de Uniqlo sont bien moins chers sur place, sans surprise. En tout cas, je préfère cent fois la mode japonaise (selon les items bien sûr) que l’occidentale. Mes boutiques chouchou : Honeys et Muji !

Je ne pouvais évidemment pas faire de section vêtements sans parler des kimono et yukata, de plus en plus à la mode. S’il y a bien un omiyage qui fonctionne à 1000%, c’est celui-là ! J’avais acheté mon premier yukata à l’occasion d’une croisière dans la baie de Tōkyō, dans la boutique Oriental Bazaar (car j’étais un peu fauchée à l’époque) à Harajuku. J’y avais aussi trouvé ceux de mes parents et de mes petites sœurs, qu’ils avaient bien apprécié. Ma belle-mère porte parfois le sien en pyjama, mes sœurs en « déguisement », mon père en peignoir de bain. Comme quoi, les goûts et les couleurs … J’ai acheté un second yukata plus qualitatif cette année dans une boutique non loin de chez moi où le staff est vraiment adorable. J’ai racheté des geta (les chaussures traditionnelles), et j’ai également de nouveaux obi (ceinture de kimono / yukata). Vous pouvez aussi acheter un kimono, mais c’est bien plus cher, plus lourd, et difficile à enfiler soi-même. J’ai moi-même un kimono, offert par ma mère d’accueil, et je n’ai encore jamais réussi à le porter de façon traditionnelle toute seule. Je prévois de participer à un cours de kitsuke (l’art du port du kimono) en 2025. Pour finir, vous trouverez aussi dans les magasins de seconde main comme Book-Off ou 2nd Street des kimono et yukata d’occasion, ainsi que des haori, des vestes de kimono qui peuvent se moderniser avec des vêtements plus modernes !

Les objets du quotidien

Le Japon fourmille d’objets du quotidien mignons et plutôt pratiques (ou parfois juste mignons ou au contraire complètement WTF). Mais comme j’aime mêler l’utile à l’agréable, intéressons-nous aux objets qui pourront vous servir à votre retour. Je pense notamment aux porte-cartes de transport avec un cordon étirable, trop pratique pour le métro ! Le mien c’est un gros Totoro tout fluffy. Alors ça prend de la place, mais c’est Totoro alors on lui pardonne. J’ai aussi ramené (avant de la perdre) une petite serviette éponge à glisser dans son sac à main pour s’éponger pendant les grosses chaleurs. C’est plus hygiénique qu’étaler la sueur du front sur les mains, non ? 

Il y a aussi les objets à collectionner. Mon gros délire, c’était d’acheter les tumblers (sortes de mini-thermos) de chez Starbucks, décorés à l’effigie des différentes régions / villes du Japon. J’ai réussi à obtenir Tōkyō (offerte à mon frère), Nagoya (à mes parents), Fukuoka, Kyōto et Yokohama. Mais quand je suis revenue en 2019, la collection que j’avais commencée n’existait plus … Ca reste de bons souvenirs, qui ont vraiment bien servi à la fac pour les pauses thé ! 

En parlant d’université, ce paragraphe est spécifique aux personnes qui ont eu l’opportunité d’étudier au Japon. C’est mon cas, et certains établissements ont leurs propres goodies. J’ai par exemple pu ramener un sweat Chūō Daigakude la papeterie portant le logo de l’université, mais aussi un porte-clef de la mascotte : le prince souris (car le cri de la souris est « chū » en japonais, et le prince se dit « ō », et les Japonais adorent les jeux de mots) ! 

De manière générale, il existe des tas d’objets quotidiens, soit typiquement japonais, soit « à la sauce japonaise » qui peuvent être sympa à ramener. La papeterie est particulièrement qualitative, et je ne compte plus le nombre de stylos, carnets et autres gadgets qui viennent du Japon chez moi.

La nourriture et les boissons

Bien sûr, la nourriture reste l’omiyage par excellence ! Il existe tant de choses que l’on pourrait ramener du Japon que je n’aurai pas la prétention de faire une liste exhaustive. Tout n’est cependant pas pratique à transporter dans un long trajet, donc à vous de voir ce qui fonctionne le mieux pour vous.

Pour ma part j’ai souvent ramené des Kit-Kat aux saveurs que l’on ne trouve qu’au Japon. En effet, c’est un pays qui décline énormément de produits classiques en variétés propres à leurs régions. J’ai également ramené des yatsuhashi, une spécialité de Kyōto composé de pâte de riz gluant aromatisé à la cannelle et fourré à la pâte de haricots rouges. La pâte peut, en plus de la cannelle (ou à la place), être aromatisée au matcha, au sésame noir, à la fraise … Il y en a pour tous les goûts ! Attention cependant à la date de péremption parfois courte de certains produits.
N’hésitez pas à partager vos snacks préférés à rapporter du Japon, la liste est longue (comme cet article …) ! Pour ce qui est des boissons, je ne peux que vous recommander du thé, et, à l’instar des produits internationaux dérivés, des boissons originales et propres au Japon telles que le Fanta au melon !

Les tickets et tampons

La grande collectionneuse que je suis adore conserver les tickets en tous genres, dans l’espoir naïf d’un jour faire mes classeurs de journaling en les utilisant. Ainsi, j’ai accumulé des tas de tickets de musées, temples et autres lieux visités durant mes quatre voyages. J’ai aussi gardé quelques tickets de train avant de m’acheter une carte de transports. Et comme j’ai assisté à quatre concerts au Japon, j’ai aussi gardé mes billets d’entrée. Ce sont des choses toutes simples mais idéales pour se remémorer vos visites, vos expériences et vos découvertes insolites.

Les romans, les mangas, CD et DVD

Qui n’a pas rêvé de ramener un tome de son manga préféré en version originale ? J’ai reçu mon premier manga en japonais par mon oncle qui était allé sur place pour le travail quand j’étais au collège. Lors de mon échange universitaire, j’ai ramené les derniers tomes de Bakuman et de Switch Girl, deux mangas que je lisais à l’époque et qui étaient en cours de publication. Est-ce que je les ai lus ? Pas tous, mais en partie ! C’est un beau souvenir à se ramener du Japon si vous aimez les manga, et certaines boutiques d’occasion comme Book Off les vendent à prix cassés. Et puis un jour, vous pourrez peut-être les lire (n’hésitez pas à me contacter si vous êtes intéressés par des cours de japonais particuliers ♥) !

Dans la même lignée, vous pouvez vous laisser tenter par des romans, mais le niveau est un cran au-dessus ! Cela peut aussi être pour la collection ou la beauté des couvertures. Pour ma part, j’ai acheté les 4 livres de Katō Shigeaki, un chanteur japonais que j’aime beaucoup et qui est aussi romancier. L’un de ses romans a été adapté en film, ce qui peut aider à comprendre le texte par la suite. On m’a aussi offert des livres, et c’est toujours sympa de tenter de les lire petit à petit pour pratiquer le japonais. Ma dernière acquisition est le tome 3 de la série « Tant que le café est encore chaud », en cours de lecture.

Enfin, les amateurs de pop-culture pourront se laisser tenter par les CD de leurs artistes préférés, les DVD de concerts, de films … Les coffrets de CD au Japon sont bien plus qualitatifs et travaillés qu’en France et même si l’heure est aux applications de musique, je suis toujours ravie de voir ma collection de CD et DVD tous droit venus du Japon !

Le Japon est un pays où il est extrêmement simple de ramener des souvenirs de voyage. Même si d’un point de vue environnemental, ce n’est pas terrible, c’est une société de consommation qui mise beaucoup sur le fonctionnel et mignon, les produits du terroir et sur les packagings. Les emballages sont parfois si beaux qu’on n’ose pas les jeter. J’ai tenté de proposer des idées variées afin de parler à un maximum de monde. En espérant que mon modeste article puisse vous inspirer pour vos futurs séjours ! Et si jamais, vous pouvez trouver d’autres idées sympa (et certaines en commun avec moi) chez Passeport Japon !


Ema 絵馬(えま): tablette votive sur laquelle on écrit un voeu avant de l’accrocher au temple.
Goshuin-cho 御朱印帳(ごしゅいんちょう): tampon tel un sceau apposé dans un carnet spécifique par un membre du temple et permettant aux pélerins de conserver une trace de leur périple.
Kimono 着物(きもの): littéralement « chose qui se porte », par extension nom de la tenue traditionnelle japonaise portée dans diverses occasions.
Kokeshi 小芥子(こけし) : poupée en bois ayant une forme similaire à une quille, taillée à la main.
Kumiko 組子(きみこ) : artisanat traditionnel japonais dans lequel on se sert du bois pour créer des motifs servant dans différentes objets du quotidien.
Obi 帯(おび): ceinture de kimono ou de yukata. 
Ohashi お箸(おはし): baguettes japonaises.
Omamori お守り(おまもり): amulette de protection vendue dans les temples.
Omikuji 御神籤(おみくじ): prédiction de la fortune sur bouts de papier, vendues dans les temples et sanctuaires.
Omiyage お土産(おみやげ): souvenir ramené d’un lieu qu’on a visité, généralement de la nourriture.
Tenugui 手ぬぐい(てぬぐい): sorte de toile en tissu (souvent coton) que l’on peut accrocher aux murs de façon décorative.
Yatsuhashi 八つ橋(やつはし): pâte de riz gluant aromatisée à la cannelle et fourrée aux haricots rouges en forme de triangle, spécialité de Kyôto.
Yukata 浴衣(ゆかた): kimono d’été en coton, plus léger et porté pendant les festivals.


Quels omiyage avez-vous ou aimeriez-vous rapporter du Japon ?

4 Réponses

  1. Je me lance ! De mon premier et unique voyage au Japon en avril dernier avec Marine, j’ai ramené beaucoup de OMIYAGE, on avait droit à 2x 23 kgs de bagages alors autant vous dire que j’en ai profité !
    Mon préféré : un Goshuin-cho acheté en début de séjour au sanctuaire de Kobe, et tamponné par la suite à chaque visite.
    Deux Tenugui, achetés dans une boutique artisanale en pleine montagne, après avoir vu un atelier de la fabrication de l’Indigo.
    Une tablette votive, un yukata, un Omikuji collé dans mon carnet de voyage, des Omamori pour la protection sur la route et pendant les voyages, des magnifiques baguettes japonaises gravées à nos prénoms, cadeau de ma fille, et des petits choses à manger achetées au marché de Kyoto, aromatisées au matcha.

    • En fait je réalise en lisant ton commentaire que tu as coché une belle partie de la liste des omiyage que j’ai recommandés dans cet article 🙂
      Je suis ravie que tous ces souvenirs aient trouvé une place dans ta maison 🙂 En espérant que tes choix en inspirent d’autres ! et tu as oublié ta merveilleuse veste bomber unique achetée dans la petite boutique de Matsue. D’ailleurs tu as eu un haori pas un yukata 😛

  2. J’ai pas du tout l’intention de voyager au Japon mais je viens de lire tout cet article avec un sourire aux lèvres qui m’a rappelé mes amis élèves de japonais au lycée, tandis que moi j’étais la seule à faire du chinois !
    Bref, c’était très intéressant et divertissant.
    Je suis ton projet un peu au hasard depuis quelques mois sur LinkedIn et en voyant que ton site était prêt j’ai voulu voir ça de mes yeux. Super boulot, bravo 🫶

    • Bonjour Romane,
      Merci beaucoup d’avoir lu mon article avec intérêt ! Ravie qu’il t’ait rendue nostalgique aussi ahah.
      C’est vraiment gentil d’avoir suivi l’évolution de mon projet alors que tu n’as pas particulièrement l’intention de voyager au Japon, ça me fait très plaisir !
      Merci pour tes compliments en tout cas, ça me motive à me donner encore plus ! 🙂

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